Hellow

Nom : Nakami. En revanche, jamais elle ne se présentera à vous par ce nom. Elle semble l'avoir oublier...
Prenom: Elle se fait appeler Sayuri. Son vrai prénom en revanche est Chiyo.
Age: 17 ballais XD
Métier Disons lycéenne à ses heures perdues.
Nationnalitée: Anglaise
Pouvoir L’art du Dessin consiste à rendre réel, de manière éternelle où courte, ce que le dessinateur imagine. Pour ce faire, son esprit passe dans une dimension qui s’appelle l’Imagination et y progresse grâce à des « chemins », les Spires.
Il y a une infinité de chemin, une infinité de possibilités, qu’ouvre le pouvoir du dessinateur.
Trois forces qualifient l’Art du Dessin : le Pouvoir, la Créativité et enfin la Volonté. Chacun de ses critères est important ; c’est seulement en maniant les trois qu’un dessinateur peut pénétrer l’imagination. Plus il possède ses qualités, plus son don est puissant.
Plus le dessinateur est puissant, plus il « va loin » dans les Spires et plus il peut jouer avec la réalité.
Les plus doués d’entre eux parviennent à imaginer qu’ils sont ailleurs qu’à l’endroit où ils sont réellement et à s’y transporter instantanément. C’est ce que l’on appelle un « pas sur le côté ».

Sayuri est une dessinatrice, et pas des moins douées. Dotées d’une créativité rare et d’une volonté de fer, elle s’est également vue dotée d’un Pouvoir sans limites apparentes…
Une seule limite à son pouvoir : elle n’aime pas s’en servir, elle déteste même, et quand elle peut l’éviter, elle le fait.
Il y a bien aussi ces petites bêtes qui ressemblent à un crapaud croisé avec une limace, appelé des Gommeurs, et qui empêche d'arpenter les Spires dans un rayon de quelques dizaine de mètres. Elles sont cependant très rares et peu de gens connaissent leur existence. Elles sont d'ailleurs tellement répugnantes que l’on renonce souvent à leur utilisation.
Mais la véritable limite de son pouvoir et sans conteste celle que Akiro lui a enseigner : "Altérer la réalité ne doit jamais être fait à la légère. C’est pour cela que même les grands Dessinateurs, seuls capables de le faire, ne créent que rarement des créations éternelles."

Physique : Dans son jeune âge, Chiyo était souvent confondu avec un garçon ; avec sa coupe à la garçonne, sa facheuse tendance à faire les 400 coups, et son peu de soin pour elle-même (ainsi que la planche à repasser qu’elle avait en guise de poitrine) , elle était souvent toute amochée. Depuis ses 13 ans, elle s'est décidée à devenir un peu plus féminine... La transformation a été réussit. Ceci, bien entendu, est dit sans aucune prétention..
Sayuri est à présent une belle jeune fille. Son physique très avantageux est souvent mis en valeur par les vêtements moulants qu’elle porte. Mais son atout majeur est sans conteste ses yeux. Ourlés et d’une étonnante couleur améthyste, pétillant de vivacité, son regard est captivant voire déstabilisant. Oh certes ses yeux n’ont pas la prétention de faire tomber amoureux quiconque les croise. Pourtant, personne ne peut dire qu’ils ne sont pas magnifiques sans mentir. Ils étaient auparavant violet. Depuis qu’elle refuse d’utiliser ses pouvoirs, ils ont changé : devenus bleu nuit, ils se sont chargés en outre d’une tristesse sans mesure. On peut y lire une maturité qui n’est pas de son âge, une maturité que l’on obtient pas sans voir la mort, de près. Des cheveux noirs tirant sur le bleu nuit encadrent parfaitement son visage. Un tatouage celtique orne sur son poignet et sa main gauche. De plus, Sayuri a une belle allure, souple, carrément féline. Sa taille fine renforce cette impression de fluidité lorsqu’elle se déplace...


caractere : Si vous rencontrez Sayuri, vous pourrez tirer ces conclusions :
Sayuri a un très fort caractère. Si elle n’aime pas quelqu’un, elle se montrera extrêmement antipathique. Lunatique, elle peut paraître excessive dans ses réactions par moments. Mais quand on lui prouve qu’elle a tort, et si votre tête lui revient, elle s’inclinera. Elle est très curieuse, et parfois susceptible. Elle est courageuse voire téméraire et ne semble jamais craindre pour sa vie, comme si elle n’y attachait aucune importance. C’est ce qui donne l’impression qu’elle cherche les ennuis. En outre, elle est plus têtue qu’une mule.

Mais est-il forcé qu’elle laisse paraître ce qu’elle est vraiment ?
Non. Passée maître dans l’art du mensonge ainsi que du changement d’identité, elle cache très bien ce qu’elle ressent au fond d’elle. Elle ne laissera paraître son véritable caractère que si elle a confiance. Or, la confiance chez Sayuri est une chose difficile à gagner. Non pas qu’elle repousse les gens ou qu’elle soit associable. Simplement, elle a peur. Peur de revivre une troisième fois ses souffrances.
Elle est très mystérieuse.
On peut rajouter qu’elle connaît tous les préceptes de bonne conduite. Elle a aussi un léger accent étranger, même s’il est difficile de reconnaître lequel. Cela lui confère un air d’autant plus mystérieux.

En résumé Sayuri est une fille attachante malgré son caractère de chieuse, et elle réserve bien des surprises..



histoire : La petite Chiyo-chan est née le premier matin de l’hiver. Sa mère et son père lui témoignèrent énormément d’amour. Les premières années de sa vie, elle fut comme rare sont les petites filles, aimée, choyée, élevée dans le cadre de la haute société anglaise. Vers ses 13ans, Chiyo développa l’étrange faculté de faire basculer dans la réalité ce qu’elle imaginait. Ses parents, loin de la repousser après l’avoir découvert, étaient cependant effrayés. C’est alors qu’un jeune homme, d’une vingtaine d’année, d’une rare beauté, et doté d’yeux identiques à ceux de Chiyo, vient proposer d’enseigner à la jeune fille l’Art du Dessin. Il se nommait Akiro. Ayant une couverture de précepteur, il entraînait Chi-chan (comme il la surnommait) à maîtriser son pouvoir, à en connaître les limites qu’il ne fallait pas franchir. En effet, altérer la réalité ne doit jamais être fait à la légère. C’est pour cela que même les grands Dessinateurs, seuls capables de le faire, ne créent que rarement des créations éternelles. Dotées d’une créativité rare, elle s’est également vue dotée d’un Pouvoir sans limites apparente. Cependant, il lui manquait un élément essentiel pour pouvoir être une grande dessinatrice : la volonté. N’en avait-elle vraiment pas ? ou se refusait-elle de devenir plus douées que Akiro, sachant pertinemment que lorsque cela arriverait, elle ne le verrait sans doute plus autant qu’avant ? Toujours est-il qu’elle n’utilisait pas correctement le don. Elle n’avait pas découvert véritablement son pouvoir. Les deux jeunes devinrent très proches. Elle se fit, selon les conseils de Akiro, tatouer une forme celtique sur la main gauche, du poignet à la main, identique à celui que lui-même portait, symbole de leur appartenance à la guilde des Dessinateurs. Un jour, à l’aurore, Akiro et Chiyo étaient une fois de plus dans le parc de la demeure des Nakami. Le dessin fut rapide. Une flèche, sorti du néant, filait droit vers la jeune fille. Avec une promesse, une promesse de mort. Incapable de réagir, elle vit à peine Akiro se placer entre elle et la flèche. Ce fut alors une explosion en elle. Les sentiments se mélangeant, la détresse et la rage ne formant plus qu’une, Nakami sembla découvrit l’Imagination pour la première fois. Ils étaient quatre à les avoir attaquer. Un seul en réchappa vivant. Akiro, la respiration saccadée, la félicita, le sourire aux lèvres. Il se perdit dans son regard violet, murmurant doucement trois mots. Trois petits mots que Chiyo aurait tellement voulu entendre avant. Trois petits mots après lesquels il rendit son dernier soupir, non sans lui rappeler que ses yeux étaient splendides..
C’était une journée d’été (oui je sais, les scènes tristes sont d’ordinaire durant l’hiver. Que voulez-vous ?! Tout n’est pas programmé harmonieusement comme dans un roman !). Depuis, Chiyo a mûri, rappeler à la dure réalité de ce monde. Son regard c’est teinter d’une douloureuse tristesse, rendant son regard encore plus déstabilisant. Dès que ses parents virent le carnage qu’elle avait fait, ils explosèrent, déversant sur elle un flot de haine et d’incompréhension qu’elle n’avait jamais soupçonné. Ainsi, dès qu’elle avait découvert son Don, ils s’étaient mis à la haïr secrètement. Anéantie, elle effectua pour la première fois un pas sur le côté. Où ? Ceci est une bonne question. Toujours est-il que c’était en montagne. Elle s’allongea dans la neige. Une larme naquit au coin de ses paupières. Elle roula le long de sa joue avant de se perdre dans la neige. Chiyo ferma les yeux, s’abandonnant au froid qui lui tendait mortellement les bras.


Elle rouvrit les yeux. Elle aurait pu hurler de détresse, de douleur, mais aucun son ne franchit ses lèvres. Un homme se pencha sur elle. Elle croisa son regard, un regard noir, mais un regard bienveillant. Elle resombra.
Son sauveur l’avait amenée dans un groupe d’une cinquantaine de personne. Ils ne lui demandèrent jamais ce qu’elle avait vécu, elle n’en parla jamais. En même tant ça aurait été difficile pour elle de répondre : elle ne parvenait plus à parler. Les mots, les sons restaient coincés dans sa gorge, refusant de sortir. Elle commença une nouvelle vie, sous un nouveau nom : Son sauveur, Aoi, la baptisa Sayuri. Elle devint sa protégé, personne ne contesta cette décision, personne ne la rejeta. Aoi lui enseigna l’art de se battre. A mains nues, avec un bâton, une épée. Elle se révéla être une élève très douée et surpassa bientôt bons nombres de ses compagnons. Jamais elle ne parla de son Don, jamais elle ne l’utilisa. Elle se demanda même si elle ne l’avait pas oublier… Ses yeux avaient changé.. ils étaient bleu foncé…
Elle avait 17 ans lorsque des hommes attaquèrent, des hommes qui n’avaient qu’un seul but, brillant dans leurs yeux : anéantir toutes personne leur résistant. Elle ignorait qui ils étaient. Elle ignorait qui des deux camps était les « gentils » et qui était « les méchants ». Ce qu’elle savait en revanche, c’est que le groupe de Aoi lui avait offert. Elle se jeta dans la bataille, tuant tout les intrus qui cherchaient à la tuer. Elle vit que les autres prenaient l’avantages. Armés de fusils et jouant sur l’effet de surprise, ils gagnaient ! Sayuri vit avec horreur la famille de Aoi se faire assassiner.. sa femmes, ses deux enfants.. Elle vit Aoi courir vers eux, habiter par un désespoir qu’elle connaissait si bien.. Quelque chose se réveilla en elle, quelque chose qu’elle avait longtemps oublier. Sa voix revint du même coup. Elle hurla le prénom de son protecteur et couru vers lui. Elle n’eut pas le temps d’empêcher ce qui devait indubitablement se passer. Une balle s’enfonça dans la poitrine de cet homme qui était comme un père pour elle. Une rage, une rage qu’elle n’avait éprouvé qu’une seule fois s’empara de nouveau d’elle. Elle tourna un regard violet flamboyant vers le tireur. Aoi cria son prénom. Trop tard. Un éclair se dessina dans son esprit. Un éclair foudroyant. Il bascula instantanément dans la réalité, tombant exactement où Sayuri le voulait. L’homme s’effondra. Mort. Tout bascula en elle. Ce qu’elle avait fuit revenait au galop. Elle avait tué cet homme ! Plus que le fait qu’il ait perdu la vie –ce qui l’importait peu- elle ne lui avait laissé aucune chance. Elle l’avait tuer, comme elle avait tuer ses trois hommes il y a de cela trois été. Elle se laissa tomber aux côtés de Aoi. Il enleva une mèche qui battit sur le visage décomposé de sa petite protégée et laissa sa main sur sa joue.
« Tu as une si jolie voix... » Une larme roula sur sa joue. « Tu as tellement grandit.. petite fille »
Sa main retomba dans la neige, inanimée à jamais. Sayuri serra les poings. Encore une fois, elle perdait son foyer, sa famille, les gens auxquels elle tenait.. Elle leva les yeux. Le combat était perdu d’avance, les rares survivants fuyaient, les hommes armés les abandonnant au froid redoutable qui régnait dans cette période hivernale. Elle marcha, marcha, marcha. La mort lui offrait une nouvelle fois un futur tentant. Pourtant elle s’y refusa. Elle se lia avec un loup, un loup dit Du Nord. Dangereux, sauvage, il suivait, obéissait, protégeait Sayuri, semblant éprouver une étrange affection à son égard. Elle aperçu un jour une ville, Xeres-Maria. Poussé par on sait qu’elle force, elle décida à descendre vers la civilisation. Agées de dix huit ans, elle s’inscrit au lycée. Le loup Noir l’accompagnait, refusant de s’éloigner d’elle. Cela n’ennuyait pas. Le seul problème ? Ses yeux violets qui reviennent lorsqu’elle est énervée ou tristes… Elle sentait son pouvoir palpité en elle, n’attendant qu’un léger prétexte pour s’éveiller complètement et ne plus jamais disparaître…




Autres
(j’ai déjà tout dis avant mais bon :p On va ajouter deux trois précisions )

Tics, manies : Sayuri a la fâcheuse tendance à regarder les gens droit dans les yeux, ce qui déstabilise souvent.
Détails : Un tatouage orne sa main gauche qu’elle cache constamment à l’aide d’une mitaine noire en cuir. Elle est généralement habillée en noir et rouge, ou violet. Ils sont souvent moulants. De plus, on peut noter que ses yeux sont de couleur bleu nuit. Cependant, lorsqu’elle se sent triste ou qu’elle est énervée, ses yeux virent à l’améthystes.
Elle a aussi un léger accent étranger, même s’il est difficile de reconnaître lequel. Cela lui confère un air mystérieux.
Armes : Elle porte toujours une dague, cachée on ne sait où ( ;p ). Elle a aussi un katana accroché dans son dos.
Animal : Un loup du Nord noir s’est lié d’affection pour elle. Animal effrayant, il la suit partout, la protége et lui obéis.

bienvenue cher et belle demoiselle XD si tu as besoin d'aide jsuis là XD nan srieu bienvenue ^^

Wahou! Jolie présentation! Elle a l'air vraiment......enigmatique cette jeune fille...et son pouvoir, j'adore vraiment!

@Tsukasa: on commence pas à draguer!

en fait chers professeur, si je veux draguer, rien ne m'en empêche! -_- et je ne suis pas un tchacheur!!! -_-

* part bouder derrière un mur... XD*

et bien dans ce cas... BONNE CHANCE ^^

Et une nouvelle élève à persécuter!
Non, je rigole! A bientôt dans le RP!