un petit Anzo...deux petit Anzo...trois...

Olah ce sujet s'est transformé en un véritable rpg ! XD

Donc bah bienvenue, même si t'es inscrite depuis belle lurette étant donné que t'es l'admin ^^'

Moi, j'aime déjà ta fiche hé hé <3

[center]~° Anzo Zwalt °~


nom :Zwalt
prénom:Anzo
âge:23
Métier : il a travaillé quelque années au cinéma puis, lassé, s'est barré.
nationnalitée:Norvégien
Pouvoir Il peut contrôler son sang et son énergie dont il se sert pour soigner les autres. Ainsi, une personne ayant perdu beaucoup de sang pourra alors recevoir le siens, même s'il n'est pas du groupe sanguin, celui-ci s'adaptant à celui de la personne blessée. Il peut également soigner toute sorte de blessure, en échange de sa propre énergie qu'il transmet aux autres.
En revanche, il ne s'agit pas là d'un échange équitable. En plus de perdre (parfois en grosses quantités)ce qui circule dans ses veines, il récupère les dommages infligé soit : la douleur et la cicatrice. La personne qu'il soigne en ressort donc totalement indemne.
Toutefois, son corps se régénère de lui même plus vite que la normal, ce qu'il fait qu'en général (et excepté celles de ses blessures à lui) il ne garde les cicatrices jamais bien longtemps.


pysique : Anzo n'est pas le genre tout rachitique, grand et au visage efféminé. Non, Anzo c'est plutôt le genre d'homme (bah il a 23 ans quand même) mesurant 1m78 et à la musculature parfaitement développée. Pas trop, mais assez pour lui donner une stature qui incite au respect.
Et puis, ses traits ne sont définitivement plus ceux d'un enfant. Ils sont net, légèrement anguleux voir peut être un peu dure pour quelqu'un de son âge.
Mis à part ça, il a la peine blanche digne d'une m*rde de laitier, bien qu'elle puisse être légèrement halée...si seulement il sortait un peu plus...

Ses cheveux sont par ailleurs tout aussi blancs, quoique tirant un peu plus sur le gris, avec les pointes noires. Ils ne prend même plus la peine de les coiffer puisque de toute façon, qu'il fasse quelque chose ou pas, le résultat est le même. Il a donc plusieurs mèches longues devant et le reste est coupé court. Au moins c'est pratique, ils n'ont pas besoin d'entretien spécial.
Enfin, ses yeux sont vert...avec quelques pointes de jaune, voyez-y ce que vous voulez, des yeux de chat ou des yeux de serpent (ça, ça irait déjà surement mieux avec son caractère), lui s'en fout totalement comme de sa première chaussette... qui ne doit même plus exister d'ailleurs.

Quand à son style vestimentaire, disons que du moment que ce qu'il lui tombe sous la main correspond au temps qu'il fait dehors, ça lui va très bien. Il peut tout aussi bien porter des T-shirt moulant que trois fois trop grands pour lui...ou alors ne pas en porter du tout.
En revanche, chose qui ne changera jamais, ce sont ses pantalons qui seront toujours, toujours troués, déchirés, peinturlurés : bref, dans un état lamentable.
Ajouter à tout ça quelques chaines et autres collier en acier ou en argent et c'est bon.



caractere : il y a quelques années, alors qu'il était au lycée (ce qui remonte déjà à 5ans) il était plutôt dans le genre à ne montrer aucun sentiments, quel qu'il soit. Puis en même temps qu'il retrouvait le sourire, il devenait sadique, puis il prit gout à la manipulation, pour enfin devenir incroyablement cruel. Il n'a jamais été un enfant, puis un adolescent, à la mentalité stable.
Cette période en fut d'ailleurs le meilleur exemple.
Il a eut plusieurs crises durant les quelles il s'enfermait pour ne ressortir que quelques jours plus tard, les mains en sang et des coupures apparaissant sur une bonne partie de son corps.

Et puis, un jour, il abandonna tout ça.
Il devint un peu comme un vieux chien qui dort, qu'il vaut mieux laisser tranquille. « Vivre et laisser vivre » étant sa principal devise, si on ne lui fait rien, il ne nous fera rien. Disons qu'aujourd'hui, il est plutôt comme une coquille vide qui ère dans les rues de Xeres-Maria et qui n'arrive plus a y trouver une place. Il a perdu l'habitude de parler, répondant généralement par monosyllabes et ne pense généralement à rien.

Il n'est pas quelqu'un de vraiment compliqué, mais plus personne ne cherche à savoir qui il est et beaucoup lui passe à côté sans le voir.
Son pouvoir lui a permit de renouer quelques liens avec les autres même si ça reste encore fragile.
En revanche, et il le sait pertinemment bien, son pouvoir ne lui permettra pas de faire de vieux os.
Il peut soigner les autres mais ne peut rien faire pour ce qu'il est alors il se sent souvent perdu et dépassé, car c'est bien là son plus grand problème. Il sait utiliser son pouvoir, il le maitrise, ça c'est sur.
Mais il n'arrive pas à accepter le fait que lui guérisse automatiquement à la moindre petite blessure.
Alors parfois, il arrive qu'il soigne un grand nombre de personne, sans prendre de repos, accumulant les douleurs, en venant même à se faire lui même du mal. pour que ça finisse enfin.
Il n'accepte pas que les autres souffres alors que lui s'en sort finalement toujours indemne.

Toutefois, et ça reste extremement rare, il arrive qu'il se « réveille ». Mais dans ces cas là, il reprend le caractère qu'il avait il y a bien longtemps avant de connaitre le monde des adultes. Celui d'un enfant qui a eu droit à tout l'amour du monde et qui a profiter autant qu'il le pouvait de ses jeunes années. Il est alors tout ce qu'il y a de plus innocent, même si on ne peut que voir la tristesse qui s'est mélée au sourire naïf qu'il arbore.

histoire :
Anzo Zwalt, est née pendant la guerre. Plus précisément, 6 ans avant sa fin.
Il est née dans l'un des plus terrible quartiers souterrains, entouré d'adultes qui s'entretuaient pour avoir plus de nourriture qui était de plus en plus rare, et qui en venait même à se nourrir des corps de leurs semblables.
Heureusement ou pas, il était un enfant en trop. Les galeries étaient emplies de mondes et la place venait elle aussi à manquer.
Lui et ses parents, tous les deux étrangers, furent donc envoyé à la surface. Peut être espérait-on qu'ils meurent et laisse les autres vivre tranquillement terré et à l'abri.
Anzo survécut pourtant. Ses parents, eux, moururent un an après leur exposition au grand air. Ils moururent lentement sous ses yeux. Leurs tissus corporel se désagrégeaient puis leurs organes internes.
La petite cabane dans laquelle ils avaient trouvé refuge portait alors l'odeur de la pourriture et de la mort alors qu'Anzo voyait ses parents bruler de l'intérieur et perdre leur sang.
Il s'endormait tant bien que mal, se bouchant les oreilles pour ne plus entendre leurs cris d'agonie et se réveillait le lendemain, espérant toujours un peu plus que ça finisse enfin.
Au début il était apeuré bien sur. C'était quand même un gamin de 4 ans. Et puis, à force de vivre dans cet environnement...il s'y habitua tout simplement. Si bien qu'il ne fit même plus attention à ceux qui l'avaient mis au monde et il quitta leur refuge. Ses parents ne le virent même pas partir; délirant alors complètement.

Pourtant, avant tout ça, il avait été heureux. Même dans les souterrains il avait été aimé. Sa vie ne lui semblait pas aussi terrible qu'on aurait pu le croire. Il était protégé, nourrit et logé. Tandis qu'en l'espace d'une toute petite année, il s'était retrouvé seul et marchant à présent dans un paysages totalement inconnu. Il ne s'était même pas posé la question : « pourquoi eux souffraient et pas lui », étant encore trop jeune.
Il se contentait de marcher encore et encore, foulant tantôt le sable qui avait remplacé les villes d'autrefois, tantôt la pierre. Le ciel lui semblait éternellement gris et pourtant il l'aveuglait. C'était bien la première fois qu'il pouvait le regarder.
Il restait parfois assis pendant des heures, recroquevillé au pied de l'un des rares arbres tenant encore debout, se protégeant du soleil de plomb qui lui brulait la peau.
Il entendait parfois le bruit d'explosions au loin, de tires, des cris qui s'en suivaient et qui avaient remplacé le chant des oiseaux qui avaient du partir vers un ciel plus clément...
Et pusi il se relevait et recommençait à marcher. Sur son chemin, il rencontrait de plus en plus de monde, mais aussi de plus en plus de cadavres qui s'enfonçaient petit à petit dans le sol.
Les autres marchaient aussi dans la même direction que lui, mais vers où, ça il l'ignorait.

Il arrivèrent dans un bidon-ville où s'entassaient tout ceux qui avaient été rejeté et tout ceux ayant survécut. Dans cet endroit il n'y avait plus de corps inanimés, décomposés et jonchant le sol. Il y avait simplement d'autre comme lui. D'autre qui lui firent une petite place parmi eux et avec qui il n'eut le temps de vivre que quelques petits mois.
Souvent des personnes arrivaient dans le bidon-ville. C'était des adultes qui criaient et qui emmenaient toujours des amis d'Anzo avec eux. Ils enlevèrent aussi bien les grandes personnes qui s'occupaient de lui que d'autres enfants.
Il ne comprenait pas pourquoi à l'époque.
Jusqu'à ce qu'il fut emmener à son tour.

C'était sombre là où il était. Il y avait quelques bruits qui semblaient très lointains mais c'était essentiellement le calme qui régnait. Il entendait aussi des cris et ça lui rappelait lorsqu'il marchait. Et tout ce qu'il avait vécut avant lui semblait à présent très lointain.
Il était assis dans une petite pièce carrée éclairée seulement par une meurtrière et pour seul objet une gamelle ou on lui donnait à manger. Il restait collé dans son coin, contre les pierres humides et attendait.
Et puis brusquement la porte s'ouvrit et il aperçu la silhouette d'un homme. Celui-ci resta quelques instant à le regarda et le prit par le bras.
Là où ils allaient, il y en avait d'autres. Anzo eu tout juste le temps d'apercevoir une personne qu'il avait connu dans la ville que déjà elle partait.
Quand à lui, on le plaça dans une autre salle ou il rejoignit d'autres enfants. Il y avait également un adulte. Celui-ci en prit un au hasard et lui cria dessus, si bien que le petit garçon se mit à pleurer. Mais l'autre criait toujours et commençait à le secouer. Au bout de quelques minutes, il le lacha enfin et parla à un autre homme qui prit le petit avec lui.
Cette recommença sous les yeux d'Anzo encore 5 fois, jusqu'à ce qu'une petite fille produise quelque chose d'incroyable.
Il y eut soudain une intense lumière dans la salle et le garde s'écroula au sol. L'autre arriva, ne fit même pas attention au corps inanimé et emmena la fille dans une autre pièce, pendant que le mort était remplacé.

Et alors ce fut à son tour. Anzo se crispa et avança timidement vers l'adulte.
Il aurait mieux valu qu'il laisse un autre y aller à sa place. Celui-ci était bien plus violent que le précédent. Ne voyant aucune réaction venant de sa part, il sortit son couteau et fit une entaille dans la joue du gamin qui hurla. Les autres restaient collé les uns aux autres, regardant avec horreur le spectacle qu'ils avaient sous les yeux, espérant qu'il en finisse vite mais priant aussi pour que ça dure le plus longtemps possible, puisque c'était eux qui passaient après.
Seulement il ne se passait rien. Et l'homme en avait vraiment marre. Il approcha le couteau de sa gorge. Mais bon, se faire entaillé, déjà que ça fait mal, mais en plus ça commençait à bien faire .
Rassemblant le peu de force qu'il avait, Anzo prit le couteau par la lame et le planta dans la jugulaire. Les autres poussèrent un cris et se tassèrent un peu plus contre le mur tandis que le petit se remettait tant bien que mal.
Quoique ce n'était pas finit. Il hoqueta de surprise en voyant son propre sang qui coulait de ses blessures se diriger vers celle du soldat. Il vit avec horreur son sang entrer dans la plaie, venant remplacé celui que l'autre avait perdu.
Dégouté par ce spectacle, il recula vivement et cria de plus belle, plaquant ses mains sur ses coupure en espérant que ça cesse.
Un adulte, interpelé par les cris arriva et vit alors l'étrange transfert qui s'effectuait.
Ni une ni deux, il prend Anzo par le bras et l'emmène avec lui.


Un an plus tard, il se retrouvais encore à marcher sous le soleil de plomb qui s'abstenait à briller dans cet enfer.
Seulement les choses avaient changée maintenant.
Il ne vagabondait plus à la recherche d'un endroit où aller. Là, il luttait pour sa survie et pour celle des autres sur un champ de bataille.
La jeune fille qui était passée avant lui lui expliqua rapidement le but de tout ça : ils ont apprit l'existence des évolués. Ils effectuent souvent des rafles en espérant en trouver afin d'en faire des soldats et gagner la guerre. Les autres son gardé comme chair à canon et serve la plupart du temps de bouclier.
Et elle lui avait dit ça d'une voie monocorde, sans ciller et le regard perdu dans le vague. Alors il se demanda vaguement ce qu'elle avait pu vivre avant pour être devenue comme ça.
Cette fille l'avait d'abord apeuré, puis au fur et à mesure qu'il la côtoyait, il s'était rendu compte qu'elle avait en fait parfaitement comprit le fonctionnement de ce monde.
Mais comme beaucoup, elle tomba aussi.
Il la fit se prendre une balle dans la tête avant de s'écrouler dans le sable; Anzo accourut alors et s'apprêta à faire un transfert mais elle le stoppa. Elle lui tenait le bras avec encore une grande fermeté avant d'ajouter:

« c'est la guerre gamin... »


Seulement aujourd'hui, la guerre était finie. Il n'y avait plus de cris, plus de bruits de tires ou d'armes que l'on charge, plus le bruit sourd de quelqu'un qui tombe au sol.
Tout ça, c'était maintenant du passé.
Et pourtant la question est toujours là. Elle s'était faite plus persistante avec les années et se répétait sans cesse dans sa tête : « pourquoi était-il toujours là alors qu'eux étaient morts ? »
Alors qu'il revenait à Xeres-Maria, il s'aperçut qu'ici aussi, les choses avaient changées. La ville s'était développée et les cabanes avaient disparues. Il voyaient des personnes qui arboraient un magnifique sourire sans comprendre vraiment pourquoi.
Il leur en voulu beaucoup au départ. Parce qu'ils n'avaient pas vu, ils n'avaient pas vécus ce qu'il a enduré. Mais surtout, il n'y avait plus de place pour lui.
La population revenait à une vie normale.
Il n'avait plus raison d'être. En tant de paix, on a plus besoin d'enfants soldats.

Et pourtant il dû faire avec.
La ville accueillant désormais une école, il y fut inscrit. Il n'était pas mauvais élève et passait à la classe supérieurs sans difficultés. Toutefois, et ce à cause de son caractère, il n'avait que de rares proches. Il les abandonna d'ailleurs bien vite, ne supportant plus de jouer le jeu devant eux. Porter un masque c'est pratique, mais à force on étouffe.
Et son passé revenait de plus en plus fréquemment. Alors il s'enfermait.
Personne ne savait ce qu'il se passait dans ses cas là. Mais souvent après ses crise, on le voyait avec des bandages sur une grandes parties de son corps. Quand à l'état de la chambre qu'il occupait en ce temps, mieux vaut de ne pas en parler.
D'ailleurs, il n'y resta pas longtemps. Aussitôt le lycée finit, il quitta ses études.
S'arrangeant toujours pour faire payer les gens qu'ils soignaient (vous le voyez bien faire du bénévolat ? =_=) il put s'acheter un appartement dans le centre ville. Mais même s'il a un endroit où rentrer, ça ne l'empêche pas d'errer encore et encore dans les rues où aux alentours de la ville.
C'était un peu comme s'il attendait que quelque chose arrive.

Autres

Tics, manies : /
détails (tatouages ...) :Il a deux tatouages : un dans le cou et l'autre sur le bras droit, ainsi que plusieurs anneaux à chaque oreille.
Armes (pas obligatoire) : Il possède une faux mais ne la prend que rarement avec lui...faut dire que c'est pas des plus discret...

Animal : il n'en a pas. Excepté un chat entièrement gris avec les yeux jaunes, pas des plus mince, qui le suit partout où il va depuis des mois. Il ne sais absolument pas d'où il sort mais comme il est toujours avec lui, il prend au moins la peine de le nourrir. Par contre, s'il veut une place chaude sous la couette, il peut se gratter.

J'ai tout lu ! *toute fière* ^^

Ouaaah c'est trop bien, ton histoire est trop bieeen, ton avatar est trop bieeeen, ton caractère est trop bieeen... bref, ton perso est trop bieeeen XD

6 pages word ? Ouah... Et dire que tu nous avais promis 5 lignes pour l'histoire XD